c'est la fête

Publié le par flo

En plus c'est la fête de mon neveu adoré !
dimanche 18 septembre - Saint Ferréol
 

 
Paul CEZANNE - Pêches, poires et raisins - 1880 - huile - L'Hermitage, Saint Petersbourg
 
 
 
Livre d'Isaïe - 55, 6-9
 

Tournez-vous vers le Seigneur, maintenant qu'il se laisse trouver. Faites appel à lui, maintenant qu'il est près de vous. Que l'homme sans foi ni loi renonce à ses pratiques ! Que l'individu malveillant renonce à ses méchantes pensées ! Qu'ils reviennent tous au Seigneur, car il aura pitié d'eux ! Qu'ils reviennent à notre Dieu, car il accorde un large pardon ! En effet, dit le Seigneur, ce que je pense n'a rien de commun avec ce que vous pensez, et vos façons d'agir n'ont rien de commun avec les miennes. Il y a autant de distance entre ma façon d'agir et la vôtre, entre ce que je pense et ce que vous pensez, qu'entre le ciel et la terre.

 
 
Psaume 144
 

Chaque jour je te bénirai, je louerai ton nom toujours et à jamais.
Il est grand, le Seigneur, hautement loué; à sa grandeur, il n'est pas de limite.
Le Seigneur est tendresse et pitié, lent à la colère et plein d'amour;
la bonté du Seigneur est pour tous, sa tendresse, pour toutes ses oeuvres.
Le Seigneur est juste en toutes ses voies, fidèle en tout ce qu'il fait.
Il est proche de ceux qui l'invoquent, de tous ceux qui l'invoquent en vérité.

 
 
Evangile selon saint Matthieu - 20, 1-16
 

Voici à quoi ressemble le Royaume des cieux : Un propriétaire sortit tôt le matin afin d'engager des ouvriers pour sa vigne. Il convint avec eux de leur payer le salaire habituel, une pièce d'argent par jour, et les envoya travailler dans sa vigne. Il sortit de nouveau à neuf heures du matin et en vit d'autres qui se tenaient sur la place sans rien faire. Il leur dit : Allez, vous aussi, travailler dans ma vigne et je vous donnerai un juste salaire. Et ils y allèrent. Le propriétaire sortit encore à midi, puis à trois heures de l'après-midi et fit de même. Enfin, vers cinq heures du soir, il sortit et trouva d'autres hommes qui se tenaient encore sur la place. Il leur demanda : Pourquoi restez-vous ici tout le jour sans rien faire ? - Parce que personne ne nous a engagés, répondirent-ils. Il leur dit : Eh bien, allez, vous aussi, travailler dans ma vigne. Quand vint le soir, le propriétaire de la vigne dit à son contremaître : Appelle les ouvriers et paie à chacun son salaire. Tu commenceras par les derniers engagés et tu termineras par les premiers engagés. Ceux qui s'étaient mis au travail à cinq heures du soir vinrent alors et reçurent chacun une pièce d'argent. Quand ce fut le tour des premiers engagés, ils pensèrent qu'ils recevraient plus; mais on leur remit aussi à chacun une pièce d'argent. En la recevant, ils critiquaient le propriétaire et disaient : Ces ouvriers engagés en dernier n'ont travaillé qu'une heure et tu les as payés comme nous qui avons supporté la fatigue d'une journée entière de travail sous un soleil brûlant ! Mais le propriétaire répondit à l'un d'eux : Mon ami, je ne te cause aucun tort. Tu as convenu avec moi de travailler pour une pièce d'argent par jour, n'est-ce pas ? Prends donc ton salaire et va-t'en. Je veux donner à ce dernier engagé autant qu'à toi. N'ai-je pas le droit de faire ce que je veux de mon argent ? Ou bien es-tu jaloux parce que je suis bon ? Ainsi, ajouta Jésus, ceux qui sont les derniers seront les premiers et ceux qui sont les premiers seront les derniers.

 
 
Ma prière
 

A l'heure ou, en France, les vendanges battent leur plein, entendre ces paroles de Jésus peut paraître de la provocation. Pour lui, le nécessaire pour vivre est plus important que le nombre d'heures de travail pour y parvenir. Dans la réalité, le "système économique" ne fonctionne que grâce à ceux qui commencent leur journée tôt le matin. Seigneur, ne décourage ni les uns ni les autres, et aide-nous à comprendre que nous avons tous notre place dans ce monde, comme dans ton royaume.

je rappelle que la passage bleu n'est pas de moi, mais de l'auteur du site.

 

 

 

Publié dans spirituel

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